Vitany venait de refermer son téléphone délicatement avant de le ranger dans sa poche gauche de son jean bleu clair qu'elle avait acheté il n'y a pas longtemps. Elle était assise depuis quelques minutes sur le banc du campus, et n'avais pratiquement pas bougé à par pour prendre son téléphone et le remettre. Elle venait de finir et avait profité de ce magnifique ciel bleu pour s'assoir et rêvassé. Elle avait sa musique dans les oreilles et feuilletais un magasine de mode, de temps en temps elle levait la tête pour regarder les gens passés. Elle adressa un ou deux sourires à certaines connaissances. Aujourd'hui, elle n'avait pas grand choses de prévu, ce qui était rare, car la jeune fille adorait sortir, même une heure, elle devait voir quelqu'un après l'école. Elle replongea ses yeux dans le magasine qu'elle était en trin de lire et continua sa lecture. Vitany était une grande acharnée de la mode, pas des dernières tendance, juste la mode. C'est ce qu'elle disait, car elle avait son style bien à elle, qu'elle construisait grâce à ces magasines, elle ne voulait pas avoir le même style que tout le monde et simplement acheté la dernière tendance du moment, c'était quelque chose qu'elle ne supportait pas et grâce à l'argent de ses parents, elle avait la chance de pouvoir s'acheter de temps en temps des pièces uniques.Avoir de l'argent était une grande chance du côté de la mode, et Vitany s'en rendait compte, il ne faut pas imaginer n'ont plus, que sa garde-robe fait tout un salon, elle sait avoir des limites. Une vibration sur sa jambe la fit sursauter discrètement, elle leva la tête et repris son téléphone. C'était un message de Maxime, il venait de répondre au message qu'elle lui avait envoyé il y a quelque minute. Elle lui avait proposé de venir aujourd'hui dans sa chambre puisque sa colocataire n'était pas là et que le jeune homme l'avait réclamé cet après-midi. Elle fit un sourire en lisant le message et se pinça les lèvres avant de répondre à nouveau. Il était évident que Maxime avait répondu oui à sa proposition et Vitany n'attendait plus qu'une chose maintenant être ce soir ! Avant de remettre son téléphone dans sa poche, elle regarda l'heure. Elle se leva rangea son magasine dans son sac et partie dans sa chambre se préparer .

Vitany venait tous juste de sortir de la salle de bain, elle s'était légèrement remaquillé et avait laissé ses cheveux comme tous à l'heure, ondulé. Elle avait mis une simple mais belle tunique beige avec quelques motifs de fleur en plusieurs couleurs. Elle prit son sac de cours et regarda ce qu'elle avait à faire pour la semaine, histoire de s'occuper le temps qu'il restait avant que Max arrive. Il était bientôt 20h00 et normalement le jeune homme devait arriver, Vitany ne fit pas attention à l'heure plongé dans le devoir de français qu'elle appréciait beaucoup. De temps en temps elle pensait à ce qu'il allait se passer ce soir ? Pour tant c'était évident, comme chaque fois qu'ils se voyaient. Il lui avait dit cet après-midi, qu'elle lui manquait, mais Vitany ne pouvait s'empêcher de penser que c'était plutôt le sexe qui lui manquait ... Maxime était un bon ami, avec qui elle partageait plein de moment génial et elle lui confiait beaucoup de choses. Seulement, même si elle n'arrêtait pas de dire le contraire, elle savait qu'au fond d'elle, ses sentiments pour le jeune homme avaient grandis et devenait des sentiments qu'elle ne faisait que redouté.Elle s'était beaucoup accrocher à lui et ne pouvait plus se passer de lui, elle avait besoin de lui, de savoir qu'il était toujours présent dans sa vie . Quand ils ne se voyaient pas une journée, Vitany était dans le fond triste et ne pouvait s'empêcher de tirer la gueule le reste de la journée. Ce comportement l'inquièttait fortement. Retombé amoureuse, c'était la dernière chose qu'elle voulait. Un bruit à la porte la fit sortir de ses pensées, elle se leva d'une grande vitesse et alla ouvrir rapidement la porte. Elle afficha un sourire , quand elle le vit près de la porte, comme à son habitude, il était séduisant et avait adopté un style simple et décontracté. Il rentra dans la chambre de la jeune fille et lui fit une bise sur la joue. « Je te serre un verre ? J'ai des bières dans le frigo ! A par si tu as pris des nouvelles résolutions et tu as arrêté tout ce qui est alcool ». Elle lui afficha un sourire, pendant que lui rigola un petit coup, il était certain que Vitany savait que jamais il arrêterait l'alcool et qu'elle avait dit ça juste pour le taquiné.

Le jeune homme rangeait son portefeuille dans la poche arrière de son jean. Il venait d’effectuer un achat qui allait juste faire plaisir à son estomac. Tout en sortant du starbuck, le jeune homme commença à grignoter la friandise qu’il venait de s’offrir, accompagné par un cappuccino. Maxime trainassait dans les rues. Il ne connaissait pas la Suède comme sa poche, mais faisait un effort pour en savoir plus sur ce nouveau pays. Londres lui manquait horriblement. Et les personnes qu’il avait laissées là-bas également. Son père avait vu en ce départ en Suède, une sortir de repenti pour le jeune homme, qui n’accumulait que conneries sur conneries à Londres. Heureusement qu’il ne voyait pas son fils à ce moment précis. En effet, le père de famille n’avait certainement pas vu juste avec ce départ précipité. Et Maxime continuait toujours pour autant ces activités soucieuses, avec ses nouvelles connaissances qu’il s’était fait. Etant un garçon très sociable et charmant, il ne lui a pas fallut huit jours pour se faire des ami(e)s. Et puis, ce n’est pas en partant à l’autre bout du monde que la vie de Maxime allait changer. Surtout s’il ne le voulait pas. Sa vie lui plaisait telle qu’elle était alors ce n’est pas la Suède qui va l’empêcher de vivre ainsi. La Suède était assez différente du Royaume-Uni. La façon d’y vivre. Les habitants. Les habitudes. Les rues et ses magasins. Des petits trucs qui vous font quand même changer de mode de vie, lorsque vous débarquez. Bref. Le jeune homme, le matin même, avait de suite bien senti la journée. Le soleil était présent donc tout allait bien.

Sa matinée, il l’avait consacré aux quelques devoirs qu’il avait à faire pour sa semaine. Au moins, c’était fait et plus à faire. Il pourrait ainsi se consacrer aux choses qu’il aimait vraiment faire, durant toute la journée. Il s’était surtout rapidement habillé pour rapidement sentir l’air frais sur son visage. Jean, tee-shirt et chemise par-dessus, il sentait une légère brise qui venait rafraichir la chaleur du soleil. Gratte sur le dos, il était parti tenter de se faire un peu d’argent tout en chantant dans la bouche d’un métro ou bien à l’angle d’une rue ou sur une grande place. Non seulement il jouait bien, mais en plus il en profiterait tout les passants et se ferait sans doute un peu d’argent. Pas grand-chose mais c’était le geste qui compte. Et en Suède, ils étaient beaucoup plus généreux qu’en Angleterre. Bref. L’après-midi se passa ainsi pour notre charmant Maxime. Vers la fin de l’après-midi, sa vision sur la journée ne fit que s’affirmer, puisqu’il reçut un texto de Vinaty. Sa belle et charmante Vitany. Quelque chose d’étrange les séparait. A la base, Maxime avait son grand dragueur et avait réussi à mettre Vitany dans son lit, une première fois. Mais il sentait qu’elle était loin d’être comme toutes ces filles que Max met dans son lit et qu’il ne rappelle jamais. Vitany, c’était le charme incarné. La douceur. Le naturelle. La spontanéité. Tout cela dans un magnifique bout de jeune femme. Puis malgré eux, ils recommencèrent plusieurs fois à coucher ensemble, sans pour déplaire l’un à l’autre. Au contraire. Maxime ne demandait que ça. De revoir la jeune femme. Grand charmeur qu’il était, il montrait à Vitany qu’il ne voulait que le corps de la jeune femme. En réalité, ce qu’il ressentait, c’était bien plus fort. N’étant jamais tombé amoureux, Maxime avait peur de ce sentiment qu’on appelle l’amour et qui fait souffrir la première personne qui ose s’en approcher. Alors il prétend le contraire. Il montre à tout le monde qu’il ne veut que les corps des jeunes femmes, rien de plus. Sauf que là, Vitany, c’était différent. Même s’ils couchaient souvent ensemble, ils avaient tout de même construit une amitié forte et sincère sur l’oreiller. Alors lorsqu’il lut le message de sa chère Vitany, il ne put qu’être content de sa proposition. Mais surtout d’accepter. Elle avouait enfin être en manque du jeune homme. Et ce n’était pas pour lui déplaire.

Du coup, le jeune homme rentra plus tôt que prévu. Histoire de se préparer à cette soirée qui s’annonçait. Maxime ne doutait pas de la fin de la soirée. Mais ce qui comptait, c’est que tous deux allaient passer cette soirée ensemble. C’était leur soirée. Depuis un moment déjà ils n’avaient pas passé un moment ensemble. Bref. Dans sa chambre, le jeune homme ramassa l’argent récolté au cours de la journée, puis avait filé à la douche. Il ne suffisait pas de grand-chose pour plaire à Vitany mais quand même. S’habillant de façon décontractée, il ne prit pas longtemps avant de quitter la chambre pour rejoindre celle de la jeune femme. D’un pas serein et content, le jeune homme avait tout de même le trac. Le trac de quoi ? Personne ne le savait. Je vous le dis, c’est complètement différent la relation que Maxime entretient avec Vitany qu’avec toutes ces autres filles qu’il peut séduire. Vitany, il ne prendra jamais le risque de la blesser ou de la faire souffrir. Même s’il le fait sans le savoir actuellement. Bref. Devant la porte de la chambre de la jeune femme, il frappa trois petits coups, comme à son habitude. Vitany vint lui ouvrir, dans une tenue qui la rendait ravissante comme toujours. Entrant dans la chambre, il prit le temps de déposer un baiser sur la joue de la jeune femme. En effet, il se mit légèrement à rire, à la réplique de la jeune femme. Comme si Maxime Callahan allait s’arrêter de boire de l’alcool du jour au lendemain. C’est peine perdue. Regardant la jeune femme avec son sourire habituel, il lui répondit. « Va pour une bière. Les bonnes résolutions ne sont pas faites pour moi, tu le sais très bien. » Regardant la chambre dans son ensemble, il attendait le retour de la jeune femme. « J’suis pas en retard au moins ? »

Pendant toute l'après-midi allait n'avait pas arrêté de penser à ce soir, d'habitude Vitany ne se posait pas trop de questions, vivait la vie comme elle venait sens se prendre la tête. Mais elle voyait bien que quand elle était avec lui tout était différent, c'était étrange, cette sensation de nouveau quand on est avec une personne et Vitany se demandait pourquoi cette sensation c'était-elle installé. Et-est ce vraiment de l'amour, ou simplement une attirance ? Elle n'avait pas la réponse à ses questions banales mais bien difficile. Malgré tous, elle essayait de se convaincre avec beaucoup de difficultés, qu'il fallait tout de même arrêter de se prendre la tête et mettre fin à ses questions tordues qui lui encombrait la tête chaque jour. Elle ne voulait rien admettre, elle essayait de se faire croire que leur relation n'était purement que physique et qu'entre eux, il ne pouvait rien y avoir. Le jeune homme était installé sur le fauteuil, pendant que Vitany avait été cherché la bière dans le frigo. Au moment ou la jeune femme commençait à boire, elle avait déjà essayé plusieurs fois de boire de la bière mais plusieurs fois elle avait recracher sur ses amis ou s'était forcer à avaler, pourtant avec les années, elle sut s'adapter, malgré tout elle est toujours vite dégoûtée quand elle en consomme un peu trop, c'est pourquoi elle avait des petites bouteilles ... Contrairement à ce qu'on pourrait croire, Vitany n'était pas une grande fane de l'alcool, c'est juste qu'avec sa fine corpulence, elle ne résistait pas beaucoup et celui-ci faisait vite effet sur elle .« J'suis pas en retard au moins ? », dit Maxime toujours assis à attendre, Vitany revint vers lui avec deux petites bouteilles et lui répondit . «Non, pas du tout, je venais juste de terminer mon devoir ... », elle lui passa la bière et se mit sur le canapé, il était vrai que les chambres du campus était super, il y avait tout ce qu'il fallait, un canapé, un bureau, une place pour une télé, un frigo, etc... Elle ouvrit la bouteille et commença à boire une petite gorgé avant que le jeune homme se lève et se mit à côté d'elle . «Alors quoi de nouveau coco ? Je sais que t'a vie n'est pas très mouvementer, mais en quelques jours je sais qu'il sait passer des choses ?», le jeune homme rigola, et Vitany se leva pour allumer la radio, elle ne supportait pas un endroit sans musique. Dès qu'elle se levait le matin, la première chose qu'elle faisait, c'était d'allumer sa chaîne. Elle mit son CD de muse qu'elle avait acheté quelques jours avant et avait eu difficile à trouver puisqu'il avait fait un carton et que leur album se vendait comme des petits pains. Elle retourna s'assoir près du jeune homme et repris sa boisson sans la boire. Elle écouta les paroles du jeune homme attentivement avant qu'il commence à la chatouillé et à la prendre dans ses bras. Vitany aimait être dans ses bras, elle se sentait en sécurité, même s'il n'était pas son compagnon, parfois elle le considérait comme telle.

L’après midi du jeune homme s’était écoulée assez rapidement. Lorsqu’il eut reçu le message de la belle Vitany, il eut d’autant plus envie que la journée se passe rapidement, afin d’aller retrouver Vitany. Même si le jeune homme prétendait ne rien ressentir pour la jeune femme, il ressentait quand même de l’affection pour elle. Mais en réalité, il ressentait bien plus pour la jeune femme. Il voulait bien plus que son corps. Mais ça, jamais il ne l’avouera, à qui que ce soit. Pour lui, les sentiments et l’amour, sont deux choses dont il évite de loin comme de près. Il n’avait jamais osé s’en approcher, voyant les gens qui avaient tenté de l’apprivoiser complètement brisé par cet amour. Oh ça non, il ne voulait surtout pas tomber amoureux. Il aimait trop cette sensation de liberté. Cette sensation d’indépendance. Et jamais il ne voudrait y renoncer. Alors le semblant de sentiment amoureux qu’il pouvait ressentir, il faisait en sorte qu’il se fasse discret et très petit. Et surtout, il se mentait à lui-même. Le seul amour qu’il peut ressentir c’est cet amour éternel pour les femmes. Oh ça, oui, là, il ne craint rien. Mais il doit bien avouer que Vitany, c’était complètement différent d’avec toutes les autres nanas qu’il a pu mettre dans son lit. En réalité, c’était bien plus qu’une attirance. Certes au début, ça n’était que purement physique et l’un comme l’autre le savait. Mais plus le temps passait et plus ils étaient toujours fourrés ensemble, à passer des moments qu’ils n’auraient jamais pensé vivre ensemble. Plus le temps est passé et plus il a fait naître des sentiments. Ce sentiment qui fait tant souffrir. Vitany possédait tout ce que les autres femmes ne possédaient pas pour plaire au jeune homme. Même si le jeune Callahan savait pertinemment comment la soirée allait terminer avec la jeune femme, il ne pouvait être que content du texto de cette dernière. Même si tous les deux ressentaient dans sentiments forts l’un pour l’autre, jamais ils n’en avaient parlé, tentant de faire taire ce qu’ils ressentaient. Je crois que si Vitany n’en a jamais parlé à Maxime, c’est surement par peur de la réaction du jeune homme. Il n’a jamais avoué être tombé amoureux et rares ont été les fois où il l’a été. Même sa petite sœur pourra confirmer. Bref. Une fois qu’il fut renté de son après-midi à jouer sur une grande place où pas mal de gens passaient, le jeune homme était de suite rentré pour se faire tout beau. A vrai dire, il n’en fallait pas beaucoup pour faire craquer la belle Vitany. Une fois tout beau et prêt, il s’était rendu à la chambre de sa belle, frappant à la porte comme il en avait l’habitude. La jeune femme portait une jolie tenue qui ne pouvait que la mettre en valeur. Elle lui demanda s’il voulait une bière et le jeune homme ne se fit pas prier pour accepter. « Tu travailles encore à cette heure-ci ? » Dit-il après avoir entendu la réponse de son amie. Vitany c’est le genre de fille raisonnable. C’est le genre de fille qui aime sortir jusqu’au bout de la nuit, mais sans forcer sur l’alcool ou sur autre chose. De plus, elle arrive à avoir un pouvoir sur le beau Maxime et arrive à lui faire entendre des choses lorsque ce dernier va trop loin dans ses soirées. Bref. Le jeune homme prit la bière que la jeune femme lui tendait et ne perdit pas de temps avant d’en boire une gorgée. Alors que Maxime s’installa aux côtés de la jeune Vitany, elle se renseigna sur la vie du jeune homme qu’elle aimait. « Oh bah la routine, comme d’hab’. Et toi ? Toujours fourée dans tes livres de mode ? » Il ne la critiquait pas, ni même taquinait. Il se renseignait juste. Alors que Vitany répondit au jeune homme, ce dernier ne se gêna pas pour la prendre dans ses bras et commençait à la taquiner doucement en la chatouillant. La soirée s’annonçait bien.

Vitany était heureuse de le voir, comme à chaque fois même, elle avait besoin de lui plus qu'elle ne le pensait, mais elle le savait quand même. ça devenait même parfois une dépendance et la jeune femme refusait, d'être dépendante de quelqu'un, c'était un truc qu'elle s'était interdit de faire, car ceci pouvait détruire une personne en seulement une phrase prononcée ... Vitany le voyait bien avec sa mère, elle était le genre de femme à suivre son mari et ne rien dire, une femme un peu soumise et ceci faisait beaucoup de peine à la jeune femme, car sa mère était un modèle pour elle, enfin presque. Et la voir dépendante de quelqu'un la rendait folle de rage, à son plus jeune âge, quand elle comprit les vrais difficultées de la vie, elle s'était promise de ne jamais faire la même erreur, elle avait même décidé de ne pas se marier, car elle trouvait ceci à notre époque de maintenant inutile, et puis bonjours pour le divorce s'il y en a un ! Mais avec tous ce qui se passe maintenant, on a plus de chance de divorcé que de rester " ensemble pour l'éternité " et ceci inquiétait beaucoup la jeune femme. Soit, elle était encore jeune et avait la vie devant elle, la seul qu'elle voulait pour le moment, c'était de s'amuser et de réussir ses études, pour percer dans son métier plus tard, qu'elle n'avait pas encore décider mais don elle faisait certaines recherches quand elle avait du temps libre. «Non, pas du tout, je venais juste de terminer mon devoir ... » dit Vitany à son ami qui était dans le canapé . Aussis tôt le jeune homme lui fit une réflexion qui avait fait rigolé Vitany, «Tu travailles encore à cette heure-ci ? », elle se retourna vers lui pour continuer la conversation. « Hé oui pourquoi c'est étonnant ? » , c'est vrai Vitany était une grande fêtarde, mais elle arrivait à être résonnable au niveau du travail, elle n'était plus au lycée, où on enlevait des points pour un devoir en retard, ici ce n'était pas la peine de négocier, c'était à peine si les professeurs retenait ton nom ... Soit tu l'avais, soit tu l'avais pas ! Il était évident que certain professeurs étaient plus gentils que d'autres mais le résultat était le même, ils ne s'attardaient pas à courir après les élèves pour leur devoir ! La jeune femme continua la conversation en lui demandant s'il allait bien et en prenant des nouvelles de sa vie. « Oh bah la routine, comme d'hab'. Et toi ? Toujours fourée dans tes livres de mode ? » répondu le jeune homme gaiement et en taquinant Vitany. Elle le prie bien, c'est vrai, elle était souvent plongée dans ses livres de mode mais ceci faisait plaisir aux yeux des hommes ! « Rien de spécial non plus, j'ai beaucoup travaillé cette semaine ! Je ne suis pas souvent sortie, mais bon je vais me rattraper ! Et pour ton information, c'est grâce à ces fameux magasine, qu'il y a des femmes sublimes qui te son servie sur un plateau ! », c'est là que le jeune homme la prie dans ses bras et commença à la taquiné. Elle était bien dans ses bras, elle se sentait protégé et en confiance avec lui. Maxime la rendait heureuse mais aussi malheureuse sans le vouloir, car malgré tout elle avait une énorme sensibilité et ne pouvait s'empêcher de croire qu'elle n'était juste qu'une histoire de sexe et qu'entre eux, ce n'était que physique, ce qui l'arrangeait puisqu'elle ne voulait pas admettre ses vrais sentiments ! La jeune femme se retourna vers lui et l'embrassa tendrement avant de se retourner et de boire une gorgée de sa bière.